Bonjour tout le monde,
Je vous parle aujourd’hui de la prise d’alcool durant la grossesse et l’allaitement dans les quelques lignes qui composent ce billet. Pourquoi? Parce que je pense que c’est bien de comprendre les dessous des recommandations et de ne pas seulement savoir ce qui est mieux de faire ou de ne pas faire.
Dans ce billet :
- L’alcool durant la grossesse
- Les troubles du spectre de l’alcoolisation fœtale (TSAF)
- L’alcool et l’allaitement
- Besoin d’aide pour cesser de boire?
Toutes les organisations publiques en santé qui donnent des conseils et qui élaborent des guides de bonnes pratiques se basent sur les connaissances actuelles. Leurs indications ne sont pas données dans les airs, mais bien fondées sur les connaissances qui évoluent à travers le temps, tout en considérant les éléments encore inconnus par la communauté savante. Cela dit, les recherches permettent de mieux connaître certains phénomènes. Même si on ne peut pas toujours tout expliquer, on peut néanmoins suivre l’évolution des connaissances et tenir compte des résultats. Pour par exemple améliorer, le plus possible, la santé des futures mères et des nouveaux bébés. On appelle cette pratique la promotion et la prévention de la santé : agir en amont pour éviter certaines situations fâcheuses qui peuvent être possiblement évitées.
L’Institut national de la santé publique du Québec (INSPQ) vient de mettre à jour les données entourant la prise d’alcool durant la grossesse.
Saviez-vous que…
Saviez-vous que la dernière recherche sur la consommation d’alcool durant la grossesse, qui date de 2006, nous informe qu’un peu plus de 20 % des femmes au Québec avouent avoir pris au moins une fois de l’alcool lors de leur grossesse? C’est un pourcentage très élevé si on le compare à l’ensemble du Canada, qui voit leur résultat tourner plutôt autour de 11 %. À cet effet, la sensibilisation est importante.
Rendez-vous à la section suivante sur l’alcool durant la grossesse.