Pour lire la partie précédente, accédez au récit de Chantal Mes pensées ces jours-ci sont à la gestion animale.
Wow, 37e semaine selon la date d’insémination, mais on n’avait pas réajusté à la date de l’écho… ce qui nous porte plus près de la 38e semaine en réalité. Voilà, ça y est presque. On a fait les exercices pelviens, on espère que ça aura une influence sur la sortie de petit homme. On a préparé la chambre, les valises, tout en se demandant ce qu’il manque tout le temps… Mais y’a des choses qu’on apprend au fur et à mesure je suppose.
On n’est pas encore à 100 % conscientes que dans quelques jours, notre vie va complètement changer, mais de plus en plus… C’est presque gênant de pouvoir dire à quel point ça se passe bien et que tout se place pour la venue de notre bébé. On est assez confiantes que ça devrait bien se dérouler lors de l’accouchement aussi et surtout, on se considère chanceuses d’être si bien entourées. Nos familles, amis, collègues et les professionnels de la santé que nous avons rencontrés sont tous très encourageants. On a été très rassurées par le gynécologue cette semaine, qui n’a toujours pas vérifié le sens du bébé. Mais après avoir discuté, on a compris qu’il n’est pas pressé de le faire parce que ça peut changer et que, de toute façon, il est très confiant que si tout va bien, le bébé sortira peu importe. On va arrêter de se poser la question, tête en haut, tête en bas, postérieur, antérieur… Cela dit, on ne peut pas être certaines que ce sera lui le médecin accoucheur, mais on se croise les doigts.
Comme c’est une année de bébés, on a plusieurs amies avec des bébés de quelques mois. C’est pratique de passer après les autres, on peut avoir des conseils, savoir ce qui a marché ou pas. Aussi voir que peu importe, chaque bébé est différent et ce qui marche pour un ne marche pas nécessairement pour l’autre. Ça nous fait aussi découvrir des ressources, comme une petite clinique de bébé qui fait des suivis après l’accouchement.
Je crois que nous serons un peu fébriles pour encore quelques jours. C’est un premier après tout… mais c’est un beau miracle que tout ceci parte de deux petites cellules pour faire des petits êtres si parfaits.
À bientôt,
Pour consulter la suite, rendez-vous à Épi-maman et le Père-Noël.
Chantal et Rachel
Les opinions émises dans ce billet n’engagent que l’auteure.