Mise à jour du billet le 12 décembre 2020

Bonjour les parents,

au début du suivi de grossesse, il est tout à fait normal que votre intervenant (une infirmière, un médecin ou une sage-femme) demande un certain nombre de tests. Ils serviront à bien évaluer votre état de santé général et celui du bébé à venir. Le but est d’intervenir rapidement pour répondre à un manque et s’assurer d’une belle évolution de la grossesse et du bon développement du bébé en construction. Différents tests seront faits : des prises de sang au cours de la grossesse, des échographies, la mesure du ventre de maman (hauteur utérine), la prise de poids, la tension artérielle, des tests urinaires et plus encore…

Dans ce billet, je me concentrerai plus spécifiquement sur les prises de sang du début de grossesse.

Elles sont souvent prescrites lors de la première visite de suivi qui s’effectue la plupart du temps entre la 7e et 12e semaine. Au Québec, les tests sanguins demandés lors d’une grossesse sont assez standards et ils sont en lien direct avec les guides reconnus des bonnes pratiques. Je vais donc identifier la majorité des paramètres habituellement demandés par votre intervenant. J’expliquerai leur importance par rapport à la femme enceinte et au bébé. Je tenterai également de vulgariser le tout suffisamment pour votre bonne compréhension, mais il est certain que j’utiliserai plusieurs termes biochimiques par la force des choses.

Voici un descriptif de chaque élément sanguin demandé :

La formule sanguine complète (FSC)
Le groupe sanguin et le RH (- ou +)
Recherche d’anticorps
La toxoplasmose
La syphilis infectieuse (VDRL)
Test de dépistage du diabète de grossesse (gestationnel)
Le bilan obésité
Électrophorèse de l’hémoglobine

  • La formule sanguine complète (FSC) :

La formule sanguine complète est un terme utilisé pour désigner un ensemble d’éléments particuliers. Il y en a plus d’une dizaine, lié à votre sang et à ses composantes. Par exemple : le décompte des globules rouges (qui transportent le fer), les leucocytes (qui nous aident à se défendre), le volume du plasma, etc.

Chaque élément contenu dans la formule sanguine est important et sera évalué pour s’assurer des bons dosages et éviter diverses conséquences potentielles.

Pourquoi?

Le fait de connaître ces données à ce moment précis de la grossesse permettra à votre intervenant de pouvoir intervenir rapidement sur des carences, comme l’anémie (le manque de fer). On pourra aussi recommander à la future mère des suppléments plus importants que ceux habituellement suggérés. Tout sera mis en œuvre pour garder l’équilibre des dosages des éléments sanguins afin d’optimiser la santé générale de la mère et favoriser le plein développement du bébé.

  • Le groupe sanguin et le RH (- ou +) :

Chaque personne a un groupe sanguin qui lui est propre, soit A, B ou AB ou O. Lorsqu’une femme attend un bébé, il est important de savoir :

  1. son groupe sanguin en cas d’urgence (si transfusion sanguine);
  2. son rhésus (RH) qui peut être soit positif (+) ou négatif (-).

Pourquoi?

Pour le bébé, le groupe sanguin (A, B, AB ou O) de sa maman ne cause pas de problème, puisqu’il y a deux circulations indépendantes. Par contre, le rhésus négatif (RH-) pourrait causer des problèmes pendant la grossesse et au bébé. Quand on dit qu’une mère a un rhésus positif, on retrouve une molécule rhésus à la surface de ses globules rouges. Lorsqu’il est négatif, c’est le contraire, elle n’a pas cette molécule.

Quand la mère a un rhésus positif, aucun problème sanguin n’est envisagé puisque le sang du papa ne changerait rien dans les liens inter‑placentaires mère et enfant. Toutefois, si la mère a un rhésus négatif et que le père est positif, c’est là qu’il y a une possibilité d’affection. C’est‑à‑dire que le bébé ait le rhésus de son père positif. Dans cette situation précise, la mère peut fabriquer des antirhésus (anticorps) pour combattre cette molécule et risquer que cette substance passe au bébé via son placenta.

Le passage des anticorps maternels dans le sang fœtal peut entraîner de l’anémie, de l’enflure, de la jaunisse et des lésions cérébrales au fœtus. C’est pourquoi, lorsqu’on dépiste tôt dans la grossesse un trouble d’incompatibilité sanguine comme cela, nous prévoyons déjà d’administrer un vaccin à cette maman autour de 28 semaines de grossesse. Ce vaccin est le WinRho et il a pour tâche de neutraliser la formation des anticorps et ainsi empêcher cette réaction de combat, de rejet pouvant survenir.

  •  Recherche d’anticorps :

Pour savoir si une maman est immunisée vis‑à‑vis certaines maladies, on recherche des anticorps dans le sang. Ceux-ci nous indiquent qu’elle est protégée. L’exemple typique que je vous donne est la varicelle (la picote). Quand une personne a eu la varicelle ou a reçu le vaccin, en règle générale, elle a développé une immunité, une défense contre ce même virus. Ainsi, lors d’une grossesse, on cherchera les antivaricelle, les anticorps qui prouvent la protection. Comme l’hépatite B, C (pas automatique pour toutes les mamans), la rubéole, le parvovirus B‑19 (5e maladie) et le VIH (virus immunodéficience humaine).

Environ 60 % des personnes seront immunisées au parvovirus B-19 dans leur vie. La contamination elle, demeure asymptomatique dans la plupart des cas. La transmission mère-fœtus durant la grossesse peut se faire entre 17 et 33 % des cas si non immunisée, mais n’amène pour la majorité, aucune conséquence après le premier trimestre. La virulence se fait sentir davantage à la maison (50 %) et à la garderie ou l’école (20 à 30 %).

La vaccination contre l’infuenza durant la grossesse n’est pas un vaccin qui dure des années. Il doit être répété chaque année pour protéger la personne. Il est recommandé par la santé publique que la femme enceinte soit vaccinée, puisqu’il y a plus de bénéfices que de risques à être vaccinée. Et ce, afin de prévenir les complications de travail prématuré au 3e trimestre de grossesse, la fièvre, la pneumonie et l’hospitalisation pour être traitée. Le vaccin injectable est inactivé, donc sans risque pour le fœtus. Par contre, le vaccin en inhalation qui lui est vivant et qu’on donne le plus souvent aux jeunes enfants. Celui-ci ne devrait jamais être donné à une femme enceinte.

Pourquoi?

Si une mère n’est pas immunisée par rapport à une maladie infectieuse pouvant être grave durant la grossesse, certaines vaccinations peuvent être suggérées, par exemple, l’hépatite B. Sinon, on augmentera la prévention. C’est pourquoi, il est toujours approprié qu’une femme en âge de procréer voit son médecin en pré-conception pour un dépistage. Si besoin il y avait de recevoir un vaccin et/ou un traitement anti-viral (si infection il y a). Tout cela pour épargner l’exposition au bébé du virus in-utéro à venir et aussi lors de la naissance et les répercussions pouvant en découler.

Les complications potentielles en lien avec la contamination de ces virus durant la grossesse sont diverses. Elles peuvent amener des malformations au fœtus, des troubles neurologiques ou ophtalmiques (vision), des problèmes de croissance, des troubles d’immunité, des avortements spontanés et même, elles peuvent aller jusqu’à la mort fœtale dans les situations les plus extrêmes.

  • La toxoplasmose :

La toxoplasmose est une affection provoquée par un parasite le toxoplasma gondii.Photo - prise de sang grossesse

Les symptômes de contamination chez la femme enceinte passent souvent inaperçus, car ils ressemblent beaucoup aux signes d’une bonne grippe : fièvre, maux de gorge, douleur musculaire.

Ce parasite peut être contracté par l’exposition aux excréments de chat, aux viandes crues ou mal cuites et aussi au lait cru.

Pourquoi?

Le parasite de la toxoplasmose peut être transmis au fœtus. La contamination est plus fréquente à la fin de la grossesse et comporte aussi moins de risques pour le bébé. Mais, si l’infection se fait en début de grossesse, lorsque les cellules se développent de façon exponentielle, les dommages possibles au bébé peuvent toucher : sa vue, son ouïe, son système nerveux avec un retard intellectuel.

Le fait de dépister rapidement la toxoplasmose nous permet de traiter la mère avec une antibiothérapie et ainsi prévenir les complications potentielles.

Lisez mon autre billet sur la toxoplasmose.

  • La syphilis infectieuse (VDRL) :

La syphilis infectieuse est une maladie transmissible sexuellement par le sang. Le risque de transmission au bébé durant la grossesse est de l’ordre de 50 à 80 % en fonction du stade de la maladie. Toutefois, la syphilis congénitale (transmise intra‑utérine), peut facilement être prévenue grâce au traitement précoce chez la femme enceinte.

Pourquoi?

La présence d’une syphilis infectieuse chez la femme enceinte la prédispose à des fausses couches et à des accouchements prématurés.

Pour le bébé, si la mère n’est pas traitée, il est à haut risque d’être lui aussi infecté. Cela peut aussi provoquer des retards de croissance et des malformations fœtales.

  • Test de dépistage du diabète de grossesse (gestationnel) :

Le test de dépistage du diabète de grossesse est habituellement fait autour de la 28e semaine. Et ce, afin de prévenir les complications potentielles qui s’y rattachent jusqu’à l’accouchement. Cependant, il arrive que votre intervenant préconise de faire ce test au début de la grossesse lorsqu’il y a présence de plusieurs facteurs de risque chez la mère comme :

  • son âge (+ de 35 ans);
  • un surpoids;
  • elle a déjà fait un diabète gestationnel à une grossesse précédente;
  • elle a des membres de sa famille proche qui ont un diabète de type II;
  • elle a déjà accouché d’un très gros bébé;
  • elle a des ovaires polykystiques.

Le test consiste à boire un jus sucré contenant 50 ou 75 g de glucose. Par la suite, vous aurez à faire une prise de sang.

Pourquoi?

Image - jus sucré orange pour le test de diabète de grossesseLe dépistage précoce d’un diabète de grossesse peut changer complètement l’issue de la grossesse et son déroulement. Dès le diagnostic, les intervenants mettront en place un suivi plus serré avec des rencontres médicales plus rapprochées, plus d’échographies et aussi des mesures préventives en lien avec l’alimentation, les exercices et les mesures de sucre régulières.

Les risques pour le bébé sont liés en grande partie à des malformations diverses dépendant du stade de la grossesse. Souvent le bébé est plus gros à la naissance et il peut y avoir bien d’autres complications au niveau pulmonaire, neurologique, rénal, etc.

Les risques pour la mère sont de faire une fausse couche, de l’hypertension (haute pression) et d’avoir des troubles de vision. Aussi, on voit plus souvent ces mères mettre au monde leur bébé par césarienne ou accoucher prématurément.

  • Le bilan obésité :

On effectue ce bilan lorsqu’il y a présence chez la femme enceinte d’un surpoids considéré dans la catégorie « obésité ou obésité morbide ». C’est dire que son indice de masse corporelle dépasse de beaucoup le poids santé. Ainsi, au lieu d’avoir un indice de masse corporelle entre 18,5 à 24,9, la future mère peut avoir une valeur d’indice au‑delà du 35.

De par cet état de fait, votre intervenant pourrait, dès le début de la grossesse, demander des dosages dans votre sang. Des dosages de la fonction rénale (en rapport au travail habituel de vos reins) et aussi de la fonction hépatique (en rapport au foie avec le calcul sanguin de ses enzymes). Tout ça afin de nous renseigner au plus tôt des dysfonctionnements potentiels.

Pourquoi?

Lors d’une grossesse, l’augmentation du métabolisme de la femme fait ressortir les problématiques déjà présentes. Aussi, en connaissant ces dosages rapidement, l’intervenant pourra suggérer un traitement ou un suivi approprié selon chaque situation et diminuer au minimum les conséquences. Et ce, autant pour la mère et sa grossesse que pour son bébé.

  • Électrophorèse de l’hémoglobine :

L’électrophorèse de l’hémoglobine est un test spécifique qui sert à dépister une affection qui touche la qualité de l’hémoglobine du sang. Cette affection déforme les globules rouges (qui transportent le fer dans le sang de tout individu) et peut causer par le fait même un type d’anémie qu’on dit « feriprive ».

On retrouve cette pathologie davantage chez les mamans dont l’origine n’est pas nord‑américaine. Plusieurs mamans africaines en sont touchées. En dépistant ce problème précocement, on peut administrer du fer en plus grande quantité.

Pourquoi?

Si on ne dépiste pas et que le problème persiste, la maman a plus de risques d’avoir des carences en fer et de développer des infections urinaires. Elle peut faire davantage de prééclampsie (hausse de la pression artérielle, protéines dans les urines et de l’enflure aux membres) et accoucher plus souvent de façon prématurée.

Pour le bébé, cette situation peut mener à un faible poids et à une infection postnatale diverse.

Comme vous pouvez voir, il y a plusieurs tests sanguins que l’on peut faire dès le début de grossesse. C’est votre intervenant qui sera le mieux placé pour les choisir en fonction de votre histoire de santé et de vie.

J’espère que ces quelques lignes éclairciront certaines questions que vous aviez et vous permettront de suivre de près ce qui vous arrive.

Belle continuité à vous et à bientôt!

Marie
La spécialiste des bébés

16 Commentaires. Leave new

  • bonjour à vous,

    Face à votre question, je vous conseille fortement de rencontrer votre médecin et voir les options qui sont possibles pour vous puisque, chaque situation doit être traitée individuellement en considération des antécédents, historique en santé etc…..

    Bonne chance à vous,
    Marie

  • Obed KODJO
    05/14/2022 1:29 am

    Moi j’aimerais savoir si c’est possible de connaître le groupe électrophorèse du Bébé en début de grossesse ou du foetus?
    Si oui à combien de semaines de faire ce dépistage pour connaître le groupe l’èlectrophorèse du bébé.

    Je pose cette question dans le contexte ou les parents de l’enfant sont AS et AC et veulent éviter de mettre au monde un enfant drepanocytaire.Donc est-ce qu’il a possibilité de connaître l’électrophorèse du foetus et interrompre dans le cas où il naitra drepanocytaire

  • bonjour à vous,

    NON, le dépistage de la toxoplasmose n’est pas systématique au Québec et même en demandant, pas sûr que le médecin le demande, cela dépendra de son évaluation médicale.

    bonne chance,

    Marie

  • Marjorie Boucher
    04/17/2022 6:14 pm

    Bonjour,
    Je me demandais si le dépistage de la toxoplasmose se fait systématiquement au Québec ou s’il faut le demander.

  • bonjour à vous,

    Pour votre question concernant les traitements possibles pour éviter une fausse-couche à venir, je vous conseillerais de revoir votre médecin et vous faire un plan de match ensemble car oui, on peut donner un vaccin à une femme enceinte qui a des anticorps avant même 20 semaines de la grossesse justement, pour éviter que ceux-ci empêche la poursuite de la grossesse.

    Je vous souhaite le meilleur bien sûr et de réaliser votre rêve

    Marie

  • Catherine N
    11/04/2021 1:43 pm

    Bonjour,
    Suite à un questionnement sur ma fertilité, j’ai été consulté un professionnel de la santé. Cela m’a amené à faire certaines analyses sanguines. Celles-ci ont révélé que j’étais de groupe A- ( mon conjoints A+) et que suite à quelques fausses couches faites au cours des derniers mois, j’avais développé des anticorps. Je suis en attente de voir un médecin spécialisé en ce qui concerne les grossesses à risque. En attendant, j’ai consulté mon médecin de famille qui m’a expliqué que cette condition impliquant min rhésus- pouvait être un réel obstacle à la conception puisque mon corps pouvait détruire les futurs embryons en ce défendant. Je lui ai demandé si il y avait un traitement à partir du moment où l’on sais que la futur mère produit ces genres anticorps… elle m’a expliqué quand tant que généraliste elle sait qu’un traitement préventif existe ( vaccin a avoir dans un délais de 72 suivant une fausse couche ou un accouchement pour prévenir la production d’anticorps) mais qu’elle ignorait si une fois développé…il y avait un traitement pour prévenir que je n’aborde spontanément toutes mes grossesses. Ma question est donc, à votre connaissance y a t’il un traitement pour que je puisse poursuivre ma futur grossesse sachant que je produit les anticorps?

    Merci beaucoup
    Catherine

  • bonjour à vous,

    Malheureusement, je ne peux pas vous aider sur votre question. Je vous recommande de consulter un médecin pour avoir les infos qui vous concerne particulièrement et voir si ce test est vraiment celui qu’il vous faut.

    je vous souhaite le meilleur,
    Marie

  • Bonjour,
    ma femme et moi sommes AS-AS mais nous voulons préserver les enfants.
    On m’a parlé d’un test d’electrophorèse sur le foeutus à deux ou trois semaines de grossesse. Pouvez-vous m’en dire plus s’il vous plait, y compris le coût ?

  • bonjour à vous,

    En regard de votre question, si le rapport sexuel est non protégé, bien sûr qu’une grossesse peut s’en suivre selon le cycle ovulatoire de la femme en question. Même si on a une date des dernière menstruation, cela ne nous donne pas le moment exact de l’ovulation et le moment possible de fécondation. Il faut de plus tenir compte que les spermatozoides peuvent vivre plusieurs jours. Si vraiment une grossesse venait suite à ses deux rapports, un test d’ADN serait probablement nécessaire pour bien identifier le père puisque dans les faits, les deux pourraient l’être.
    Marie

  • Frantzcia Jacques Destiné
    01/26/2021 11:46 am

    Bonjour Madame Marie Fortier. Est-ce que si une femme a un rapport non protégé avec deux partenaires l’un le 23 janvier et l’autre le 25 janvier.Sa dernière menstruation était le 29 Décembre. Est-ce qu’elle est en risque de tomber enceinte si oui Comment elle va savoir qui est le vrai père du bébé?Merci pour votre compréhension!

  • bonjour à vous,

    Je vous conseille de poser la question à votre médecin traitant car chaque situation est unique.
    Marie

  • EST il possible de determiner l’electrophorese d’un enfant Dans le ventre de sa mere ?

  • bonjour à vous,

    On peut connaître le statut génétique d’un foetus par rapport à l’anémie falciforme avec des tests génétiques mais ne sont pas fait durant la grossesse. Au Québec, voici l’info: Le statut de porteur d’un bébé peut être découvert lors du dépistage sanguin chez les nouveau-nés. Le Programme québécois de dépistage néonatal sanguin et urinaire, offert aux bébés nés partout au Québec, permet de dépister diverses maladies dont l’anémie falciforme et d’établir si le bébé est porteur ou non du gène après sa naissance bien sûr.
    belle continuité
    Marie

  • Marie-Rose
    10/08/2020 10:06 am

    Bonjour est ce que on peut dépister si le foetus souffre de l anémie filiforme dès le début de la grossesse. Merci

  • bonjour à vous,

    Je vous invite à revoir mon article dans lequel j’ai expliqué les effets possibles d’un test positif à ce dépistage.
    au plaisir

    Marie

  • L’électrophorèse de l’hémoglobine A1, A2, S chez une femme enceinte traduit quoi , je veux savoir car cela ce révèle chez ma chérie après son examen de sang.

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