Pour lire l’introduction du billet : Devenir mère dans la quarantaine.
Chacun son choix, sa situation, mais ce qui est certain, c’est que le temps passe et que l’horloge biologique viendra qu’à sonner plus fort pour nous rappeler que le projet d’enfanter arrive au bout du chemin. De nos jours, on compte environ 20% des naissances dont la mère à plus de 35 ans. On parle de grossesses tardives à 40 ans et de grossesses très tardives à partir de 44 ans.
Même si l’amour peut venir à tout moment dans notre vie, la capacité de concevoir un bébé elle, s’atténue malheureusement avec le temps. Les réserves ovariennes s’assèchent et plus est, la qualité des ovules peut s’amoindrir, augmenter la possibilité de fausses-couches et rendre ainsi, plus difficile les efforts pour devenir mère biologique d’un enfant.
Les statistiques
Si on regarde les statistiques, on sait que les femmes nord-américaines ont leur bébé plus tard dans leur vie. Souvent dans la trentaine (âge moyen à 30,2 ans), ce qui amène potentiellement plus de problèmes de fertilité. Même les démarches en clinique de fertilité sont souvent plus ardues lorsque la femme a un âge plus avancé. Depuis les années 80, les résultats de recherches montrent que les difficultés à concevoir ont plus que doublé.
Le taux de fertilité d’une femme de 30 ans est à 91% et ce pourcentage diminue progressivement jusqu’à 53% rendu à 40 ans. Toutefois, cela ne veut pas dire que la femme de plus de 35 ans est infertile. Elle peut, en grande majorité, réaliser son voeu de vivre une grossesse et d’avoir un bébé, et ce, sans complication.
Nous remarquons que les complications possibles lors d’une grossesse et d’un accouchement sont à peu près les mêmes pour tous les âges. Mais avec le temps qui avance, un plus grand nombre de femmes en vivront, puisque la prévalence augmente.
Pour lire la suite, Pourquoi avoir un bébé dans la quarantaine?