Si vous l’avez manqué, rendez-vous à la partie 1 du billet : Les facteurs qui influencent la fertilité.
Quand on pose un diagnostic d’infertilité, c’est à la suite des multiples évaluations et des résultats obtenus qui confirment une problématique quelconque.
L’infertilité se définit la plupart du temps par :
« L’incapacité à concevoir après un an de tentatives suite à l’arrêt de la contraception et avec des rapports sexuels fréquents. »
Le diagnostic d’infertilité est à la hausse dans l’histoire de la médecine et ne cesse d’augmenter à travers le temps. On dit que 10 à 15 % des couples au Canada font présentement face à de l’infertilité dans leur vie, ce n’est pas rien. Cela touche un grand nombre de couples qui désespèrent souvent devant tout l’inconnu qui entoure une telle situation. Il n’est pas rare que certains d’entre eux désirent cacher leur difficulté à concevoir de peur du jugement des autres ou de possibles blagues désobligeantes à leur endroit. Plusieurs couples vivront de la honte et s’isoleront de ceux avec des bébés qui les renvoient directement à leur douloureux échec.
Par ce billet, je veux toucher plus particulièrement les facteurs de risques qui peuvent influencer le pouvoir de concevoir autant chez la femme que chez l’homme. Plusieurs billets détaillés vous informeront sur les causes d’échecs à la conception chez la femme, les tests au masculin en infertilité et tous les tests à passer et les traitements possibles pour contourner les difficultés.
La suite : Plusieurs facteurs peuvent influencer la fertilité.